En 1971, un projet de parc industriel développé par le gouvernement du Québec prévoyait la destruction des bâtiments historiques. C’est grâce à la mobilisation d’un groupe de citoyens que ce patrimoine exceptionnel a pu être sauvegardé. Le mouvement a été initié par des femmes du Centre de recherches et d’études artisanales (CRÉA La Barge), en particulier Alma Nadeau-Poirier, Thérèse Allard-Arsenault et Enid Legros-Wise.